Quels titres boursiers et rapports d’analystes ont retenu l’attention cette semaine? Voici une revue de presse qui regroupe divers textes boursiers.
6 novembre
Les (...)
Le parc immobilier locatif montre son âge au Québec. Avec les règles strictes qu’impose le Tribunal administratif du logement (TAL), la situation (...)
DANS L'UNIVERS DES AFFAIRES
Revue de presse
À lire ailleurs sur le Web...
Des pelures de bananes… au recyclage!
«Dans le domaine du recyclage, comme dans celui de la cryptographie, quelques pommes pourries gâchent tout», écrit le chroniqueur du Financial Times Henry Mance. Il se demande pourquoi des travailleurs «intelligents» sont incapables de suivre des consignes simples de tri au bureau… une question de psychologie apparemment!
Quels sont mes nouveaux besoins?
Le télétravail a modifié les habitudes d’achat des Américains, estimeThe Wall Street Journal. Les travailleurs ont délaissé les services, tels que les transports publics, les bars et les restaurants au centre-ville, pour acheter des produits qui bonifieront leur espace de vie et nouveau lieu de travail, la maison.
L’économie derrière les barreaux
Quel est le coût réel de l’emprisonnement? En passant par les conditions de détention, le gouffre économique de l’enfermement et le coût de la récidive, Entendez-vous l’éco?, sur les ondes de France Culture, fait le tour de la question.
Des visites qui fragilisent l’environnement
La fréquentation de l’Antarctique a été multipliée par trois au cours des dix dernières années, rapporte Le Monde. Alors que certains acteurs de l’industrie scientifique s’interrogent sur leur propre empreinte environnementale lorsqu’ils visitent le continent blanc, l’industrie du tourisme ne semble pas réaliser les répercussions des croisières qu’elle organise…
100 000$ est-ce assez?
Dans certaines villes canadiennes, gagner 100 000$ par année est devenu presque insuffisant. Même s’il s’agit encore d’une bonne somme d’argent, la crise de l’abordabilité qui sévit au pays amène le Globe and Mail à remettre en question la réalité derrière ce salaire «idéal».